Facebook today acquired Wit.ai, a Y Combinator startup founded 18 months ago (…)
Techcrunch.com
Posted Jan 5, 2015 by Josh Constine
Facebook today acquired Wit.ai, a Y Combinator startup founded 18 months ago to create an API for building voice-activated interfaces. Wit.ai already has 6,000 developers on its platform who have built hundreds of apps.
Wit.ai’s platform will remain open and free, which makes it seem that Facebook wants to use the technology to draw developers into its Build-Grow-Monetize loop where they get help building apps, but eventually pay Facebook for ads to grow or monetize by splitting revenue with Facebook from hosting its ads.
As part of Facebook, Wit.ai could help the company offer voice control development tools alongside its Parse development platform, aid with voice-to-text input for Messenger, improve Facebook’s understanding of the semantic meaning of voice, and create a Facebook app you can navigate through speech.
“Wit.ai has built an incredible yet simple natural language processing API that has helped developers turn speech and text into actionable data,” Facebook tells me. “We’re excited to have them onboard.”
The Wit.ai product lets developers add a few lines of its code to instantly build in speech recognition and voice control. Without it, developers would need the expertise, time and resources to build a whole voice-recognition system themselves.
“Facebook has the resources and talent to help us take the next step,” Wit.ai wrote in a blog post about the acquisition. “Facebook’s mission is to connect everyone and build amazing experiences for the over 1.3 billion people on the platform – technology that understands natural language is a big part of that, and we think we can help.”
Wit.ai’s co-founder Alexandre Lebrun previously sold his “Siri for enterprise” voice command virtual assistant startup VirtuOz to Nuance. He then brought Wit.ai through Y Combinator in Winter 2014 class, where TechCrunch named it one of the top 8 startups from its class. Wit.ai went on to raise a $3 million seed round in October from Andreessen Horowitz, New Enterprise Associates and Alven Capital.
Les choses sont allées très vite pour Wit.ai. Il y a un peu plus d’un an, à peine créée, cette start-up fondée par (…)
Article publié par Les Echos, le 05/01/2015
Nicolas Rauline / Journaliste
Les choses sont allées très vite pour Wit.ai. Il y a un peu plus d’un an, à peine créée, cette start-up fondée par trois français installés en Californie, Alexandre Lebrun, Laurent Landowski et Willy Blandin, était sélectionnée par le célèbre accélérateur Y Combinator pour intégrer son programme. Il y a quelques mois, elle levait 3 millions de dollars auprès du fonds Andreessen Horowitz, d’Alven Capital et de plusieursbusiness angels, avant d’attirer l’attention… de Facebook. Hier soir, les trois Frenchies ont annoncé qu’ils rejoignaient le giron du réseau social. Le montant de l’acquisition n’a pas été dévoilé mais, lors du tour de table d’octobre, la valorisation de Wit.ai était estimée à au moins 10 millions de dollars. Le prix est aujourd’hui bien plus élevé.
Wit.ai, qui compte une dizaine de salariés, propose aux développeurs d’intégrer un assistant vocal dans leur application. Une manière de démocratiser la commande vocale en intégrant une sorte de « Siri » permettant de dialoguer avec son smartphone. « N’importe quel développeur, sans avoir de connaissances précises en linguistique, peut ainsi intégrer des commandes vocales à son application, en cinq minutes et en cinq lignes de code », expliquait aux « Echos », en octobre, Alexandre Lebrun.
Deuxième vente
Plus de 6.000 développeurs utilisent la plate-forme de Wit.ai, dont 99 % en mode gratuit, acceptant de partager les données linguistiques pour améliorer le service. La société se rémunérait jusqu’ici en facturant l’intégration à ceux ne souhaitant pas partager ces données. Et plusieurs centaines d’applications embarquent aujourd’hui les solutions vocales de la start-up. Dans le billet de blog publié cette nuit, les fondateurs de la société indiquent qu’ils comptent « laisser la plate-forme ouverte, et même la rendre complètement gratuite ».
Avant Wit.ai, les trois jeunes entrepreneurs évoluaient déjà dans le domaine de la commande vocale. Ils avaient créé Virtuoz, un assistant qu’ils avaient vendu à l’un des leaders mondiaux du secteur, l’américain Nuance.